Details Fraternite

Ici sont répertoriés les détails sur la région où se trouve la Faction de la Fraternité du Désordre .
(Attention : cette région n'est pas contrôlée par la Fraternité du Désordre, c'est juste la zone de Syfaria dans laquelle les deux cités de cette faction sont situées)

Carte détaillée



Cités principales

(En couleur, les ressources, ingrédients , lieux particuliers ...)

ORIANDRE
Place forte érigée dans les montagnes, Oriandre s’adosse a la falaise et s’y mêle intimement, tandis qu’un chemin étroit y mène , empêchant toute avancée de troupes en masse.
Aucune des attaque qui fut jamais menée contre la cité ne parvint jamais a ouvrir la moindre brèche dans ses murailles.
Bien achalandées , Oriandre propose bon nombre de denrées mais est surtout fière de ses fabricants d’armes . Bien que rien qui ne sorte du grand lac, en communication avec la mer, empoisonnée, n’est consommable.

Dirigée par la bulle noire, Oriandre abrite le temple noir, son quartier général, qui se dresse de toute sa hauteur au centre de la ville. C’est la que se prennent toutes les décisions militaires et les actes de défense du royaume.
Placée presque en bord de mer, Oriandre connaît un climat adoucit par la présence de la mer , mais est constamment battu par les vents.


FARNYA
La bulle rouge a choisi ce plateau dominant une terre arable et riche pour s’etablir. Cette terre riche et prospère permet la culture de céréales et d’autres denrées vivrières.
Bien que l’eau du lac soit souillée par des remontées d’eau de mer et impropre a la consommation, l’eau descendant des montagnes permet une irrigation d’eau pure
Les artisans de toute la Fraternité se sont établis à Farnya et la ville est vite devenue le centre du commerce Tchaë.
La Bulle Rouge est majoritaire dans cette ville qui respire la calme et la paix et la chambre syndicale se reunit dans un arbre géant. Les tchaë le firent tel qu’il ne puisse être détruit par la force des armes et s’étend sur plusieurs étages reliés par des ponts.

Battue par les vents, du large, du lac et en raison de son altitude, Farnya connaît un climat plutot tempéré et humide

A l’écart de la ville, au creux d’un volcan qui a cessé toute activité se nichent les jardin d’ Ykena, ou s’est installée la bulle bleue
Regroupés autour d’un lac aux eaux claires et pures, théâtre, agora, université et toutes autres structures de cette bulle se sont installées il y a fort longtemps et forment les érudits de la fraternité.
Il fait chaud dans les jardins d’ Ykena. Protégés du vent par les hautes murailles rocheuses qui les entourent, ces jardins bénéficient d’un climat agréable, chaud et pluvieux sans excès.

Note importante : les descriptions complètes des cités de poussière sont accessibles sur cette page : Les cités.


Lieux

(ces lieux, s'ils sont habités, sont protégés par des gardes de la faction considérée.
La vie est difficile et dangereuse en ces villages...)

Motabé
Le village se trouve a l’intersection des routes qui mènent au Nord Est, vers le matriarcat et la confrérie, et au Sud vers Oriandre.
Motabé est le point le plus bas de la mine de charbon qui s’enfonce dans le mont sale et fournit en grande quantités la faction et les factions voisines en charbon, indispensable a la fabrication de l’acier.
De Motabé part aussi une route menant au grand lac vers une large plage où s’échouent quelques fois, les jolakars , de grandes créatures surprenantes qui n'ont jamais été perverties par les effluves, mais qui synthétisent un liquide brun dont les alchimistes font usage dans la préparation de potions
Motabé est un village très vivant mais le vent qui disperse la poussière de charbon, le rend triste et gris aux yeux de ceux qui l’approchent. Les habitants y sont actifs et courageux
Posé en moyenne montage, le village bénéficie d’un climat doux bien que venteux.

Jgalyll
Le village s’est établi a l’ouest d’ Oriandre, sur la route reliant les deux grandes villes de la Fraternité et ne présente d’interêt que dans sa position , au quart de la route menant vers Farnya, permettant aux caravanes, une étape sure.

Verkit
Etabli de l’autre coté du bras de mer que contournent deux routes, au nord et au sud, Verkit, tout comme Jgalyll, est une étape sur la route entre Oriandre et Farnya.
Le village dissimule aux regards des étrangers l’entrée de la mine de diamants qui s’enfonce dans la roche, et fournit aux tchaë , non seulement de belles pierres , mais des outils précis , propres à couper le verre ou d’autres matériaux.

Laod
Village d’agriculteurs essentiellement, Load fait fructifier les terres arables au Nord Ouest de Farnya, fournissant les cités rouge et bleue en légumes et en céréales frais
Maîtrisant depuis fort longtemps l’art de la conserverie, elle peut ainsi fournir toute la fraternité

Le lac amer
L’eau y est tiède et calme, mais des infiltrations d’eau de mer sous marine en rendent les eaux impropres à la consommation. Sans danger néanmoins, le lac amer reste un endroit beau et agréable qui se prête volontiers aux baignades.
Les rives du lac , ou pousse une espèce particulière de joncs, attire par centaine les iza filigre.

Le grand lac
Cet immense lac aux eaux cobalt attire et fait peur a la fois.
Nul n’en connaît la profondeur réelle, les différentes tentatives pour le sonder s’étant avérées un échec ou une catastrophe.

Et pourtant les tchaës s’acharnent à tenter d’en découvrir les secrets, dessinant plans et esquisses de navires submersibles les plus fous.
C’est que le lac abrite les jersulins, aux yeux si particuliers dont la cornée n’a d’égale que la plus parfaite des lentilles de verres.
De multiples légendes courent à son sujet toutes plus farfelues les unes que les autres, et se déformant au fil du temps et du chemin parcouru.

Le cordon
Cette profonde gorge , étroite et sinueuse, relie le grand lac au lac du pic, et permet par là même aux eaux de se mêler, rendant la aussi le lac du pic impropre a la consommation.

Le bois des ans
Nul ne saurait expliquer la provenance de cet étrange nom mais les arbres poussant dans ce bois, étrangement tous de la même espèce, ne permettent aucun façonnage, aucune construction, et serait voué a l’inutilité la plus totale si une expérience tchaë n’avait découvert la vertu particulière de ce bois.
Broyé et réduit en pulpe, le bois doré de Parsangrier permet la confection d’un parchemin d’une exceptionnelle qualité, seul parchemin qui supporte la préparation nécessaire à l’écriture d’un sort .,

Le mont sale
Sur les flancs du mont sale, près du village de Motabé, s’ouvre l’une des entrées de la mine de charbon dont la richesse s’étend profondément au cœur de la roche.
Découverte il y a fort longtemps , elle continue de produire jour après jour , sa manne ébène que les Tchaës exportent et utilisent en grande quantité.
Un peu plus loin, dans un vallon ensoleillé et chaud, pousse le crychtiam

Le pic d’Orenia
De ce pic fort mal fréquenté et dangereux au possible, naît et jaillit l’Orénia. Petits rus qui s’assemblent, au fil de la descente, elle finit par couler , fière et forte, bondissant au dessus des rochers jusque dans la vallée ou elle s’assagit tant, qu’elle en devient dolente et eaux mortes et stagnantes.

Les hauts de mer
Ils surplombent Farnya et semble la veiller, tandis que ses entrailles abritent des merveilles, une mine de diamants, de toutes eaux, de toutes tailles , aux puretés variées et qui se laissent cueillir dans la roche tendre.

La cime étoile
La cime étoile fait de ce secteur de la fraternité, un endroit chaotique, au relief accidenté, propice aux accidents ou aux embuscades
La bulle noire y entraîne d’ailleurs ses meilleurs éclaireurs, ses meilleurs soldats

le col du partage
Le col du partage se trouve nommé ainsi parce qu’il se trouve a l’exact milieu de l’aplomb du grand lac
Quiconque parvient à braver les rejetons qui sont la haut , plus dangereux qu’ailleurs, découvre une splendide vue sur le lac et la plaine, avec son bois des ans aux couleurs dorées.


Récapitulatif des ressources


(générales et particulières : toutes ne sont pas répercutées ici, uniquement celles relativement spécifiques à cette région)

Ressources Vivrières

- Grandermat : Animal placide et vivant en troupeaux souvent menés par un male dominant. Leur tonte fournit une laine fine et soyeuse qui fait des étoffes souples et solides ( produits dérives : viande, laine , suif )

- Gibier divers : chassé, piégé, …. ( produits dérives : plumes, fourrures, bois, cuirs )

- Volailles : élevées dans les fermes pour la viande et les oeufs( produits dérives : plumes, duvets )

- Cochon : animal dérivé du sanglier et dans lequel , tout peut être utilisé ( produits dérives : cuir, soies, graisses )

- Shretim : Céréale qui pousse en épis au bout d’une longue tige dans de vastes champs qu’il faut constamment désherber sous peine d’y voir se développer un parasite qui s’attaquera aux épis. ( produit dérivé : paille )

- Fruits et légumes : cultivés dans les champs au pied du plateau ou est construite Farnya, ils bénéficient de l’irrigation des eaux pluviales et des eaux de fonte.

Matières premières

- Mine de charbon : son entrée se trouve au nord de Motabé

- Bois de parsangrier : Ces arbres uniques dans leur genre et ne poussant nulle part ailleurs sur Syfaria, ont un bois tendre qui, broyé et mélangé a de l’eau et quelque autre ingrédient donne un parchemin particulier, le seul qui soit apte a recevoir l’enchantement préparatoire à l’écriture de sorts.

- Mine de diamants : Aux abords de Verkit s’ouvre une ouverture fort modeste, semblable a une entrée banale de grotte. Il s’agit en fait de l’entrée d’une mine de diamants que les Tchaës protègent et veillent quasi nuit et jour.
Elle ne donne que peu de pierres exceptionnelles mais le diamant est un outils précieux aux savants tchaës dans l’étude de la lumière et dans la découpe de matériaux divers

Produits finis Spécifiques

- Armes a feu

- Balles pour fusil

- Poudre à fusils

- Longues vues

- Lunettes astronomiques

Ingrédients

- Fluide de jolakar Les jolakars s’échouent parfois sur la plage qu’atteint la route venant de Motabé. Ces créatures n’ont jamais été perverties par le Ssarkh et dans leur corps, se trouve une poche, contenant un liquide brun que les alchimistes payent assez cher

- Crychtiam Plante rare issue d’un bulbe rond de 3 à 5cm de diamètre. Munie de trois grandes feuilles ovoïdes rattachées à la base d’une large tige d’une quinzaine de cm. Une unique grande fleur jaune vif de la forme d’une rose. Pousse en altitude dans les terrains secs et ensoleillés de la partie ouest de la cime étoile
Cette fleur a des propriétés curatives recherchées par les plus grands apothicaires de ce monde. Elle est reconnue pour faire partie des recettes contre les plus grands maux du corps et est parfois, en désespoir de cause, utilisée lorsque toutes les autres options ont failli.